Une programmation « blockbusters » pour le Café-Théâtre de Chambly en 2019!

Nous avons passé une excellente soirée vendredi dernier, le 18 janvier, en compagnie du Conseil d’administration du Café-Théâtre de Chambly et de quelques metteurs en scène pour le lancement de la programmation théâtrale 2019.

C’est dans une ambiance décontractée et en présence des représentants de villes avoisinantes que ces passionnés du théâtre ont présenté la palpitante programmation de l’année. En effet, comme l’explique Jean-Alexandre Côté (codirecteur artistique du Café-Théâtre), la direction souhaite toujours garder en tête un thème principal lorsqu’elle réfléchit aux pièces qui seront présentées sur les planches du théâtre. Et comme cette année marque le 30e de l’établissement, il allait de soit de présenter des pièces à grand succès qui ont su traverser les années, des « blockbusters ».

Vous aurez droit à une extraordinaire expérience théâtrale en 2019 à Chambly dans l’atmosphère chaleureuse du Café-Théâtre. Ne la manquez surtout pas!

Programmation

Du 11 janvier au 9 février : Le Journal d’Anne Frank de Frances Goodrich et Albert Hackett, mise en scène collective.
Du 1er au 30 mars : Incendies de Wajdi Mouawad, mise en scène de Mariève Guérin, assistée de Brynhilde Bord.
Du 12 au 27 avril : Comme un caillou… de Diane Paré, mise en scène de Sylvie Le Gal, assistée de Vincent Michaux St-Louis.
En mai, les comédiens du Café-Théâtre feront relâche pour laisser la place aux Rendez-vous du jeune théâtre dans une création des élèves de 8 à 17 ans et de leurs enseignants.
Du 31 mai au 15 juin : Huit femmes de Robert Thomas, mise en scène de Michelle Beaudoin.
Du 5 au 27 juillet : Le prénom de Matthieu Delaporte, mise en scène de Chantal Lacoste.
Du 9 au 31 août : Boeing Boeing de Marc Camoletti, mise en scène de Vincent Michaux St-Louis.
Du 13 septembre au 12 octobre : Le dîner de cons de Francis Veber, mise en scène de Jean-François Lallier-Roussin.
Du 1er novembre au 14 décembre : Scrooge de Charles Dickens adapté pour le théâtre par Jean-Guy Legault, mise en scène de Guillaume Bouchard.